Affaire Locale


Le fascisme financier n’a qu’à bien se tenir, le bon sens est bien du côté des citoyens électeurs.

La recherche du bonheur n’est pas l’accumulation de bien mais plutôt une quête continue pour le partage des biens acquis avec le temps, l’expérience et la ferveur du développement mutuel entre individus, entre civilisations, entre pays ou organisations civiles telles que sont les Républiques.


Un certain sens du bien commun donc.

Nous possédons des bases puissantes en droit, véritable socle commun à tous : l’avantage d’autrui, le pardon des offenses et ce développement mutuel qui nous viennent du traité de Westphalie. Egalement notre Constitution dans laquelle il est inscrit « un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » mais aussi le programme du CNR "Les Jours Heureux" et enfin la déclaration de Philadelphie du 10 mai 1994 qui dit que « le travail n’est pas une marchandise ».

C’est là que le sens de l’engagement doit nous éveiller pour établir nos droits et cesser de perdre du temps dans une « servitude volontaire » ou un excès de confiance en ceux qui tentent de nous corrompre et nous extraire de la réalité. Je veux parler du monde de la finance et les coquins qui l’alimentent.

Demain doit être meilleur qu’aujourd’hui et aujourd’hui meilleur qu’hier.

Ce combat, je le porte depuis plus de six années. Aujourd’hui il vient à vous citoyens, électeurs, Verlhacoises et Verlhacois. Puisque cette finance folle a tout ruiné pour plusieurs générations, nous allons devoir reconstruire, protéger et bâtir un monde meilleur.

Regarder la réalité en face c’est ne pas abdiquer, ou se taire en attendant que ça passe. S’indigner est une chose, mais il est nécessaire de comprendre et d’agir. C’est ainsi que je suis venu taper à vos portes et voici ce que j’y ai trouvé :

L’un d’entre vous m’a parlé de l’Hermione, la frégate de la Liberté qu’un certain Lafayette avait affrétée pour rejoindre l’Amérique Républicaine naissante. Puis viendrons ceux qui, déjà, ont su se réunir autour de projets concrets et les faire avancer, ceux qui voient changer la nature et tentent de maintenir nos traditions et ceux qui savent qu’autour d’une table, peuvent s’assoir les voisins pour s’accommoder d’un simple pain et sans doute raccommoder quelques divergences.

Chacun a ouvert sa porte et ensemble nous en ouvrirons mille autres pour toujours mieux faire. Aux individualités respectables et respectueuses, qui se sont confiées, qui ont accepté d’écouter et d’échanger sur le terrain de l’entente, je n’ai vu qu’un leitmotiv : « se projeter dans le futur pour apporter le meilleur aux enfants ».

Voir et Agir avec les yeux du futur

L’extension de l’école et le futur CLAE sont certainement une bonne voie, mais il faut voir encore plus loin. Car l’éducation, le temps de travail, des trajets trop longs, un salaire qui ne suffit plus, des retraites épuisées, une individualité grandissante, l'imposition, les difficultés de s’intégrer, des chamailleries entre fortes personnalités, des attentes sans réponses, des questions sans attente, des vœux pieux et une vie réduite à tenir son budget en permanence, la vie que les anciens ont souhaité améliorée pour nous et qui ne le sera pas pour ceux qui viennent, tout cela fait que l’on pourrait vite être submergé si l’on ne visait pas plus loin.

Puisque l'on voit bien que les problèmes quotidiens n'ont de solution qu'à l'échelle globale, reprenons le dessus sur ceux qui imposent insidieusement le mal par la course à l’économie sur tout pour le profit maximal de certains.


Maintenant que l'ennemi à bien un visage, nous n'avons pas à avoir peur de lui. Alors à vous de jouer. Bon vote !

Municipales : Voter en panachant, c'est quoi ?

Rayer quelqu’un d’une liste est une possibilité et un droit lors de l’élection municipale sur une commune de moins de 1000 habitants. C'est donc le cas de Verlhac Tescou. 

C’est un scrutin dit plurinominal avec panachage autorisé.


Explications >..

Tournée générale

A l’heure où les maires, qui se doivent d’être les « maires de tous, de tous les problèmes et de tous les secteurs », font leurs tournées électorales, ne devons-nous pas justement soulever la question cruciale du renflouement imbécile et criminel des banques par les habitantes et habitants de Verlhac ?

Cette question clef pour laquelle notre gouvernement a préféré la demi-teinte, impacte la vie économique et sociale locale à un point de non-retour si rien n’est fait pour la résoudre.

Une commune au même titre qu’un pays ne se gère pas comme une entreprise.
Les liens sociaux évoluent par les investissements nécessaires dans les biens communs pour un mieux vivre ensemble et non le contraire.

Maastricht interdisant à l’Etat la maitrise de son émission de crédit productif vers l’investissement, le développement est donc en panne, en local, au niveau national comme sur toute l’Europe.

Pour le modifier démocratiquement au sein d’une République saine, nous devons d’urgence changer la donne et arrêter de renflouer les banques au détriment de l’économie réelle.
Cela commence par la séparation stricte des activités des banques : comme à la Libération, le 2 décembre 1945, le Gouvernement a éliminé les banques d’affaires de l’économie réelle. C’était le fin de l’occupation financière du pays.

Qui mieux qu’un maire et son conseil peuvent donc porter cette question vitale auprès des citoyens ? En effet, tout conseil a le droit de faire un voeu (une délibération) sur un problème de société.

Pour ma part et depuis au moins les législatives de 2012, l’intention y est. Alors il s’agit maintenant de la mettre en œuvre. C'est pour cela que j'ai besoin de vos votes, afin de pouvoir continuer sur cet élan.

J'ai donc fait parvenir aux candidats aux municipales de notre canton ce document pour lequel j'attends leur réponse et continuerai après cette élection dans ce sens >..


Bon vote et à dimanche.



Après l'euphorie électorale, la douche froide !

Communiqué
Désormais une 40taine de collectivités se sont engagées
Une 40taine de collectivités se sont engagées
La liste Solidarité & Progrès à Rennes tient à mettre en garde les électeurs, ainsi que les autres candidats, sur un enjeu essentiel : deux réformes d’importance capitale pour les collectivités locales sont dans les tuyaux à Bercy et au cabinet de Mme Lebranchu, mais ne seront dévoilées qu’après l’échéance électorale.

Questionnée sur la baisse des dotations de l’Etat aux collectivités, estimée par certains maires à 10 milliards d’euros, Mme Lebranchu a répondu que le chiffre ne sera annoncé qu’en avril. Pour combler ce trou, Bercy prépare de son coté la révision des taxes locales, qui vise à changer les valeurs cadastrales, qui sont des estimations multi-paramétrales et en partie subjectives, de la valeur de votre logement.

Bref, vous risquez d’entrer dans une classe supérieure d’imposition, et d’avoir une augmentation significative de votre taxe foncière et d’habitation, sans que votre maire ne puisse rien y faire.

En conséquence, les candidats et les citoyens qui ne s’engagent pas à se battre contre la règle de la finance folle, à laquelle les gouvernements de droite, comme de gauche se sont soumis, se condamnent à l’impuissance et subiront ces mesures injustes. C’est tout le sens du vœu en faveur de la séparation des banques que nous défendons, pour arrêter à sa source l’austérité financière déguisée en « réformes ».


Comment ça marche ? Je vote dans une commune de moins de 1000 habitants : liste pleine ? panachage ?

Programme et projet de société

Cliquez sur l'image pour voir la présentation du film
« Si on avait dit à mes copains que j’étais un héros, ils auraient éclaté de rire. Au FTP-MOI, nous savions que nous devions nous battre pour un monde meilleur, et que ce monde devait advenir. C’était naturel » - Léon Landini

Les jours heureux, c’est le programme du Conseil national de la résistance (CNR) dont Gilles Perret nous montre la naissance.

La naissance portée par des résistants communistes et socialistes, mais aussi par des démocrates chrétiens et une droite populaire et sociale.

Et voilà tout à coup que nous parlent de vieux messieurs depuis le plateau des Glières, en mai 2010, Léon Landini, Charles Paperon [1], Stéphane Hessel et Raymond Aubrac, si jeunes les idées et engagements qu’ils portent et nous transmettent.

Et ne se faisant pas de cadeaux : Léon et Charles interpellent Stéphane, lui intimant qu’aujourd’hui comme hier s’indigner ne suffit pas mais qu’il faut agir, et qu’un être humain témoigne de son humanité par ce qu’il apporte à ses semblables.

[1] Charles Paperon : L'appel des Six

Budget 2014, pour avancer ?

Le budget 2014 du Tarn-et-Garonne pourrait être surnommé le "Tout le monde il est beau, tout le monde il est content". 

Du fait que le Gouvernement a versé sa part au Département, le Groupe des Socialistes se félicite que "un Gouvernement qui tient ses promesses c'est à souligner". 

Faut-il rappeler que ce même Gouvernement était censé avoir déclaré la guerre a la finance ? Eh bien aujourd'hui, le chiffre d'affaires de la  seule BNP PARIBAS équivaut au PIB de la France... Si ce n'est pas une puissance de chantage financier contre les français, qu'est-ce donc ?

Pour les Radicaux, l'Etat pourra "encore mieux faire". Faut-il comprendre "encore mieux soumettre les français à l'austérité" ?

Pour éviter la déroute, coupons les banques en 2 !


Au fond, faute d'avoir le courage d'affronter un ennemi qui a le visage de banques, l'austérité aura eu le mérite de mettre tout le monde d'accord. Une servitude volontaire qui s'accorde à gérer la pénurie et la course aux subventions, au lieu de couper les banques en deux pour protéger nos dépôts du casino et de reprendre  les rênes de l'émission de crédit productif public, le tout sous le prétexte d’un fallacieux progrès. 

Car le progrès dont on nous parle, c’est un peu comme le goudron de ce nouveau rond-point « des sapinettes » sur la D999, quand le goudron se décolle déjà après deux mois d’utilisation, le progrès lui ne décolle toujours pas après 30 ans de budget : pas d’irrigation pour les petites exploitations agricoles, pas de transport en commun pour sortir de l’isolement rural, plus d’entretien efficient des chaussées, routes déformées pour des accidents accrus, du délestage électrique systématique au moindre coup de vent, des poteaux téléphoniques qui croulent sous les câbles, la fibre optique ni changeant rien, bien au contraire…

Si l’heure n’était pas grave, nous pourrions rire un peu de ce prétendu bon sens si près de chez nous, en se rappelant que si « avant on avançait dans la mauvaise direction, maintenant on recul bien dans la bonne ».

Mais vous me direz et Verlhac Tescou dans tout ça ? Suite au prochain numéro !

Plutôt que de râler.. si on y allait ?


glass-steagall.fr/Pdf-Candidature_Municipales.pdf
Pour que l’avenir soit meilleur, encore faut-il que nous ayons vaincu l’ennemi sans visage qu’est la finance folle qui a tout ruiné. Vu les dégâts engendrés - emprunts toxiques, hausse des impôts, baisse des salaires et le plus grave de tout : corruption morale de trop nombreux élus - c’est une bataille qui nous concerne tous. Aujourd’hui elle devient une affaire locale : nous devons mettre fin au règne des casinos financiers.
 
Si je suis élu, je m’engage à rejoindre les dizaines de collectivités territoriales françaises à avoir voté un voeu en faveur de la stricte séparation des banques (dégager les casinos de notre économie), et à promouvoir ce combat au niveau départemental, régional, national et international. C’est possible, d’autres l’ont déjà fait. Dans ce moment difficile pour notre pays, préserver nos acquis, préserver une vie rurale saine et la développer demande de faire bien plus que de gérer le quotidien : ceux qui n’ont pas fait le travail au-delà de notre petite mairie qui s’y est attachée le mieux possible dans ce contexte, doivent résolument partir ! Après les législa­tives de 2012, je reviens donc demander aux Verlhacois et Verlhacoises leur soutien afin que nous puissions semer les graines nécessaires pour changer la donne.

Car avec 1,4 milliard d'euros de dotation en moins rien qu'en 2014, comment les collectivités locales vont-elles faire sans augmenter les impôts ni créer du chômage ?

La RD 999 est devenue accidentogène avec plus de 10 000 véhicules jours. Où sont les ronds-points ? Les transports en communs sont inexistants pour désenclaver le milieu rural alors qu'il faut aller travailler toujours plus loin, les familles n'ont pas de soutien dans leur suren­dettement. Et les chemins d'accès restent souvent non entretenus au même titre que les bas-côtés des routes. On ne pourra pas dire qu'à Verlhac Tescou nous ne le savions pas : les dépôts des Français, plutôt que de servir à spéculer sur les marchés financiers, doivent servir notre économie réelle !

Je saurai le porter jusqu'où il faut pour être entendu.

Agriculture - Nourrir le planète en 2050

A Kiev, l’UE souhaite en finir avec la PAC !

« Vous voulez savoir pourquoi l’Ukraine n’a pas signé l’accord d’association ? Lisez-le ! » a dit Poutine.
Les conséquences de l'ouverture totale des frontières aux produits agricoles ukrainiens dans des conditions où les coûts de production sont moitié moindres en Ukraine, auraient été catastrophiques pour la France, premier producteur agricole européen, mais aussi pour toute la Politique agricole commune (PAC). 
Pour lire nos Alertes depuis 2010 >..



PARIS - Salon de l'Agriculture 2014 
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Valérie Rabault, chef d'orchestre contre la finance ?

Le Petit Journal, 1er Février 2014, JF Grilhault des Fontaines

Valérie Rabault est une magicienne. le 30 janvier, présentant la liste Roland Garrigues pour Montauban dont elle est le numéro deux, elle affiche l'ambition de faire de cette ville un pôle universitaire .

http://www.solidariteetprogres.org/nos-actions-20/article/n-est-pas-jaures-qui-veut.html
En 2020, à Montauban, il y aura des étudiants, donc une université donc des emplois et des entreprises !

Tout cela est-il réaliste ? Pour sûr, Madame Rabault sait de quoi parle : elle est vice-présidente de la commission des finances. Elle sait donc que le budget pour les collectivités territoriales 2014 a été amputé des 1,4 milliards d'euros. Elle sait aussi que tant que les banques ne seront pas coupées en deux, elles réclameront de l'argent de l'État pour renflouer le trou sans fond de la spéculation... Donc il n'y aura jamais d'argent pour développer le pays!

Madame Rabault sait donc que ce projet n'est pas possible… à moins, comme le prévoit l'élite libérale du pays (Attali, Baverez...), d'en finir avec l'État-nation, pour créer des métropoles géantes qui se feront concurrence par l'entremise du pouvoir des banques, alors que le reste du pays sera laissé à l'abandon.

Malgré tout, Mme Rabault a cité Jaurès. L'homme qui s'est battu conte la finance... chef d'orchestre de la première guerre mondiale.


Alors, Madame Rabault, à quand un véritable sursaut républicain ?