Aujourd'hui, faisons toute chose nouvelle


Aujourd'hui en France, alors que nous ne sommes plus à un scandale près, il en existe un qui a failli nous échapper. Pourtant, ce n'est pas faute au professeur de droit, président honoraire de l'université Panthéon-Assas et membre du Conseil constitutionnel de 1989 à 1998, Jacques Robert, de l'avoir souligné. C'est au sujet des comptes de campagne de 1995, voila ce qu'il en dit :

" Nous n'étions pas très fiers...mal à l'aise...Nous nous sommes dispersés sans un mot,avec le sentiment que la raison d'Etat l'avait emporté sur le droit. Juste avant notre vote Roland Dumas a passé une heure à l'Elysée avec Jacques Chirac. Il lui a expliqué qu'il avait dû manœuvrer pour faire régulariser et MAQUILLER les comptes "


Déjà là, bras et chemise nous en tomberaient presque.. mais, l'homme de droit  poursuit :


" Mon impression c'est que Roland Dumas, Jacques Chirac et Edouard Balladur se tenaient, à l'époque, par la barbichette. Et que nous avons servi de caution à une belle entourloupe. Mais pour montrer que nous étions indépendants, nous avons INVALIDE LE COMPTE de Jacques Cheminade, alors qu'il n'avait commis que de légères erreurs. Pour lui, nous n'avons eu aucun problème de conscience, il a eu tous ses biens hypothéqués "


Roland Dumas se lache



Le clan des siciliens



Il n’y a plus à supputer qu’au plus haut niveau de l’Etat il existerait des collusions dignes des Républiques bananières, là nous y sommes ! Et cette corruption morale va se poursuivre puisque c’est en 2012, après 18 années de harcèlement juridique, que l’Etat ira jusqu’à saisir le remboursement présidentiel de Jacques Cheminade pour sa dernière candidature.


Cet acte brutal est non seulement une atteinte aux principes d’égalité républicaine et de pluralité démocratique qui régissent les lois électorales, mais constitue une tentative d’assassinat financier contre un dissident politique et son parti. En effet, Jacques Cheminade et Solidarité & Progrès présentent depuis 1995 l’alternative à l’inéluctable désintégration financière; les faire taire c’est nous faire tort à tous.





Etre socialiste ou de gauche..


Si le " moi président " l'a emporté, il n'en reste pas moins qu'à l'automne 2012 le parti socialiste est bien mort chez..  Jaurès. La faillite des idées l'a vidé d'humanité et plutôt que combattre l'ennemi sans visage, il a fait sien le monstre qui se lève à l'horizon : Le Londonistan

Alors en douce il nous prépare le bal des morts vivants. Pour la der de der, exit les petits candidats en 2017. En réalité, ils seraient considérés comme de vrais profiteurs, en tout cas, bien plus que les " grands " candidats. On en appelle au CSA qui va toiletter les règles des élections présidentielles. Que ne ferait-on pour éviter les accident ? N'est-ce pas Monsieur Jospin ?


Il est temps aujourd'hui de rompre le silence


Jacques Cheminade, candidat aux présidentielles de 1995 et 2012, a entamé un dialogue avec la Nation sur les enjeux de notre temps et l’action à entreprendre pour libérer la France de la tutelle des marchés financiers.

Via une plateforme internet et une fois par mois, l’enjeu de ce dialogue est de couper l’herbe sous les pieds de l’oligarchie financière qui nous prépare le cirque de 2017 avec Nicolas Sarkozy, François Hollande et Marine Le Pen. Le défi consiste à bâtir un mouvement de résistance efficace dans le peuple et chez les élus locaux autour d’un projet positif redéfinissant la primauté du travail humain sur le financier. Il est temps de reprendre notre destin en main.


http://www.solidariteetprogres.org/blog/agenda/jacques-cheminade-dialogue-avec-nation.html
Cliquer sur l'image le jour J pour accéder au dialogue et poser ses questions



 Aujourd'hui faisons toute chose nouvelle
http://www.solidariteetprogres.org/militer.html



Conférence-débat — Syrie : prise de judo de Poutine sur Obama !

La décision de Vladimir Poutine de mettre la Russie en position d’agir militairement à partir de la Syrie, contre Daech et autres djihadistes, change la donne au Moyen-Orient et peut-être dans le monde. Cette opération de flanc oblige les États-Unis et leurs alliés à montrer leur véritable jeu. Ils n’ont jamais eu l’intention de détruire Daech ; tout au plus de l’égratigner, dans l’espoir de pouvoir continuer à manipuler ce djihadisme contre leurs propres ennemis dans la région : la Syrie, l’Iran, le Liban.
Conférence, Solidarité et Progrès, Cheminade, judo, Vladimir

Face au chaos déchaîné par les opérations des Occidentaux en Libye, en Syrie et au Moyen-Orient, qui peut se muer en nouvelle guerre mondiale, la collaboration avec la Russie, l’Iran et la Syrie est la voie à suivre pour rétablir la paix dans cette région. Ceci doit être le point de départ pour créer un ordre mondial plus juste, enterrant la géopolitique et remettant à l’ordre du jour cette paix par la coopération économique chère au Général de Gaulle. A plusieurs voix, nous définirons la voie à suivre.

N'attendez pas 2017 pour agir

Appel du 18 Juin : Enquête et Tribunal sur la Dette

La réforme bancaire Hollande-Moscovici amenée par le couple Karine Berger - Valérie Rabault (notre députée sur le Tarn et Garonne) a bien accouché d'une farce, faisant de " mon véritable adversaire c'est la finance " un bien bel ami : 2% des activités filialisées.

 (une filiale c'est toujours en lien avec la maison mère, la filiale s'écroule, la maison mère suit et puis 2%, c'est quoi à part de la poudre aux yeux ?)

Le monde de la finance ne souhaite donc pas de séparation stricte entre les activités des banques au point d'avoir pris les choses en mains pour le faire valoir jusqu'aux plus " hauts lieux " du triptyque USA, UK et UE :
www.lenouveleconomiste.fr/separation-bancaire-lecole-vickers-ou-lecole-volcker-27404
C'est dire l'importance de nos dépôts. En effet, 

  - ils ont une dimension stratégique :  

    Comment la City et Wall Street ont volé notre Europe,

  - ils ne nous appartiennent quasiment plus : 
    Le parlement européen avalise le principe de confiscation des dépots,

  - ils sont la force des peuples sinon pourquoi donc les attaquer ainsi :  

    Pour J.P. Morgan, les constitutionspost-fascistes en Europe sont des obstacles à éliminer.

  Un système financier moribond qui conjugue ses initiatives pour mettre sur la paille tous les individus humains que nous sommes doit-il continuer à faire sa loi sans impunité ?

La dette, les dettes, ne sont elles pas, en définitive, illégitimes, illégales, insoutenables et/ou odieuses comme nous le rappelle nos ainés ?

https://youtu.be/C1O55unusz4      https://youtu.be/A_jEPuwJ7o8     https://youtu.be/mP5At_1aLIc  



Voila pourquoi en soutien aux pays et aux peuples que l'on soumet sciemment à l'esclavage par la dette, nous vous proposons de devenir garant d'un meilleur monde en en finissant avec la finance folle, lugubre et prédatrice.

Offrez votre soutien financier pour notre futur campagne d'affichage en envoyant vos dons à
Association Vallée du Tescou 2472 Route de Varennes 82230 Verlhac Tescou et rejoignez la bataille en exigeant enquête et tribunal sur la dette. 

 
www.enquetesurladette.fr


Objectif 1 : 500 Affiches fluo dim. 59 x 84 cm : 203€TTC
pour nous joindre : contact(at)enquetesurladette.fr


Rallier la puissance des BRICS

Les BRICS, le groupe de pays représenté par le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine et l'Afrique du Sud, se battent pour le système "gagnant-gagnant" annoncé par le président Chinois, Xi Jinping. C’est la porte de sortie du désordre atlantiste qui conduit à l’effondrement économique et à la guerre. Suivre ce que ne nous disent pas les médias est donc fondamental. Pensons plus grand que De Gaulle pour être fidèles à une certaine idée de la France.

Conférence - Débat en directe sur internet
Mercredi 22 Avril à 19 heures

Le sommeil de la raison engendre
des génocides :
L'alternative des BRICS
Animé par Jacques Cheminade, président de Solidarité et Progrès



En attendant la conférence, vous pouvez découvrir nos dossiers de fond :
Notre avenir est avec les BRICS


Les affiches nouvelles sont arrivées : Un monde sans la City ni Wall Street


Nouvelle Solidarité du 14 mars 2014 : Eurasie, le nouveau nom de la Paix

Lui président, la France ne se serait pas soumise au monde de l’argent. Lui président, il aurait combattu l’oligarchie financière de la City et de Wall Street et lancé une vraie séparation des activités bancaires pour tarir les spéculations.

Lui président, comme Léon Blum le 20 février 1942 à Riom, il aurait dénoncé « les tenants de la déflation à outrance… les tenants d’une rigueur extrême qui a conduit l’Europe au chaos ». 


Lui président, il se serait battu pour le programme d’action du Conseil national de la Résistance, pour « l’instauration d’une véritable démocratie économique et sociale, impliquant l’éviction des grandes féodalités économiques et financières de la direction de l’économie ». Lui président, jamais des livres comme Mon amie c’est la finance ou La caste cannibale n’auraient été publiés, faute de matière. 


Lui président, jamais une Karine Berger n’aurait pu défendre un leurre comme la loi bancaire de M. Moscovici et prétendre que M. Cahuzac était un honnête homme combattant la fraude fiscale, sans qu’il lui soit demandé de démissionner de ses fonctions de Secrétaire générale à l’économie du Parti socialiste, en raison sans doute de son innocente incapacité.


Lui président, jamais l’on n’aurait pu dire que sa politique « se compose essentiellement de mesures proposées plus ou moins sous la même forme par son prédécesseur de droite, Nicolas Sarkozy », comme l’a proclamé Die Welt


Lui président, jamais une déclaration commune avec Barack Obama n’aurait confirmé ce jugement par son atlantisme éhonté.


Lui président, jamais il ne se serait vanté que « depuis le retour de la France dans la structure de commandement de l’OTAN, il y a quatre ans, nous avons développé notre coopération à tous les niveaux dans le cadre de notre engagement à renforcer constamment le partenariat entre l’OTAN et l’Union européenne ».


Lui président, jamais on n’aurait prouvé cette allégeance en nous ralliant, vis-à-vis de la Syrie comme vis-à-vis de l’Ukraine, aux intérêts de l’oligarchie britannique et anglo-américaine, opposés à ceux des peuples français, anglais et américain. 


Lui président, jamais nous n’aurions laissé négocier un Traité de libre échange  transatlantique dont l’objet est de nous dépouiller.


Lui président, jamais il n’aurait puisé ses collaborateurs dans une caste sans âme et sans vertu, dans cette Inspection des finances que dénonçait Jean Zay dans Souvenirs et solitude, et plus particulièrement au sein d’une promotion Voltaire à l’arrivisme certifié.


Lui président, jamais l’abaissement du coût du travail et la réduction des dépenses publiques, c'est-à-dire l’austérité prédatrice et la destruction du modèle social français, n’auraient été possibles. 


Lui président, jamais un pacte de responsabilité n’aurait servi le patronat financier sans aider les TPE, les PME et les ETI, jamais la noblesse bancaire n’aurait pu continuer à vivre en osmose avec nos grands groupes en favorisant leur « optimisation financière », c'est-à-dire leur éviter de payer l’impôt en France.


Lui président, des centaines de milliers de logements sociaux auraient été construits et un minimum social pour les jeunes créé.


Lui président, il n’aurait jamais adopté la politique de l’opposition pour prétendre la prendre à contre-pied. 


Lui président, il n’aurait jamais livré une partie de notre peuple au Front national.

Lui président, jamais il n’aurait laissé la Sécurité sociale devenir un guichet de banque et non le lieu de notre solidarité collective.


Au fait, le président de la République s’appelle François Hollande. Il en revêt l’apparence. Pour le reste, il gère le naufrage. Que l’opposition ferait pire n’est pas un argument. Nous battre pour l’alternative aux castes, avec un projet de développement mutuel national et international, doit au contraire être notre engagement, par delà les étiquettes devenues, hélas, aussi vaines que pour un bal costumé.

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