Soyons les artisans de la Paix

Si les peuples « ne décolèrent pas » (désobéissance civile au Royaume Uni, factures d'électricité brulées en Italie, manifestations contre l'inflation en France, en Allemagne, en République Tchèque etc), ce qui est nouveau, c’est que des élus locaux, en particulier des maires allemands et français, au lieu de se plaindre et de commenter « les ombres sur la paroi de la caverne », montent en première ligne.

Le 20 octobre, le Conseil de la ville de Stralsund (Allemagne), réuni dans un « bloc populaire » dépassant les clivages habituels, a donné à l’unisson mandat à son maire pour adresser une lettre au chancelier Scholz, lui signifiant que l’Hôtel de Ville était à sa disposition pour y tenir des pourparlers de paix.

L’initiative a aussitôt reçu un écho positif en France avec le soutien de plusieurs maires :

« A l’heure de l’atome, le pardon et la considération des intérêts de chaque partie doivent prendre le pas sur les propos belliqueux et les démarches inconscientes de leurs conséquences. Un accord de sécurité et de stabilité en Europe, soutenu par une politique de développement économique mutuel, est une exigence non seulement légitime mais nécessaire. Élus par le peuple, notre devoir est de préserver la paix avant toute autre chose. »

Aux maires du Tarn et Garonne d'ajouter leur signature à l'initiative sur www.pourparlerdepaix.fr et ainsi d'inviter les parties belligérantes, la Russie et l’Ukraine, à s’asseoir autour de la table pour que cesse leur guerre.

Chronique - Sur les Nouvelles Routes de la soie : " tout ce qui est sous les cieux "

Tout ce qui est sous les cieux appartient au peuple.
Calligraphie de Sun Yat-sen (Source : Wikipedia)
L'UE ayant laissé le contrôle de la planche à billets aux banques, subit désormais la faillite du système financier occidental tout entier. Dès lors, la dernière carte à jouer des l'oligarchies en place pour tenter de se tirer d'affaire, c'est la guerre.

Cependant, nous avons vu dans les chroniques précédentes, que face à cette tendance de guerres permanentes, la Chine proposait depuis 2013 une initiative intéressante avec les Nouvelles Routes de la soie : investir sur le long terme dans le but d'améliorer la qualité de vie de chacun.

L'initiative s’inspire des anciennes routes de la soie qui ont été des corridors d’échanges commerciaux et culturels entre la Chine et la péninsule arabique sur près de 20 siècles.

Dans leur version moderne ces corridors de développement relieront l'Asie et l'Europe, l'Asie et l'Afrique, l'Asie et l'Amérique latine à travers la construction et l'amélioration des réseaux de communications terrestres, maritimes et spatiales (autoroutes, chemins de fer, ports, centrales énergétiques, zones de coopérations industrielle transfrontalières).

Ils créeront des millions d'emplois et permettront d'élever le niveau de vie des populations.

En effet, ce que l'on sait moins c'est que cette initiative des Nouvelles routes de la soie est aussi un vaste projet d’échanges scientifiques et de transferts technologiques dont bénéficient tous les participants. L’innovation et le progrès scientifique sont au cœur même de ce nouveau système économique mondial.

Ainsi c'est à travers la Banque Asiatique d'Investissement pour les Infrastructures (BAII), la Emirates NBD et différents Fonds de la route de la soie qu'au sein du groupe des BRICS rejoint par l'Arabie Saoudite, le Mexique, la Turquie, et bientôt par l'Indonésie, l'Argentine et l'Iran que les principales puissances étudient la question, du point de vue des intérêts, bien compris, de leurs nations.

Y adhérer « implique la compréhension commune que nous vivons tous dans un même monde et que nous devons partager une certaine forme de compréhension et de tolérance mutuelle aux idées de l’autre. »

On parle d'un monde en devenir, un monde accepté universellement plutôt que par le recours à la force, où l'institution politique gouverne pour le bénéfice de tous les peuples et de toutes les nations pour que soit produite la plus grande quantité de biens partagés et que soit créée l’harmonie entre toutes les nations et les cultures.

Le concept de Tianxia que l'on découvre ici pourrait se résumer par une coopération à long terme de « tout ce qui existe sous le ciel ».

Une approche gagnant/gagnant entre tous les pays, petits ou grands qui remet en cause l’ordre géopolitique dominant. Face à quoi, l'occident, lui, en proie à une grave crise financière, morale et politique, montre une totale incapacité à se remettre en question et à proposer des projets d’avenir pour nos populations.

Mais comme disait le grand sage chinois, Confucius : Lorsque l’on se cogne la tête contre un pot et que cela sonne creux, ça n’est pas forcément le pot qui est vide…

(Cette article a été publié dans Le Petit Journal du Tarn et Garonne N° 5512)

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Chronique - Sur les Nouvelles Routes de la soie : Le concept Gagnant-Gagnant

1877, le géologue allemand Ferdinand Richthofen est le premier a évoquer le terme de « Route de la soie ». Servant essentiellement au commerce de la soie entre la Chine et l’Europe, elle avait été tracée lors de la Dynastie Han occidentale et orientale, par les ambassadeurs Zhang Qian (200 avant JC) et Ban Chao (100 après JC). Par la suite, le terme désignera toutes les routes commerciales de la Chine antique.


Cependant depuis une cinquantaine d’années, le commerce contribue assez peu à la croissance économique mondiale. Il est plutôt source d'accaparements, de surenchères et de trafics qui finalement font la lie de la spéculation financière.

Ainsi au fil du temps, de nombreux défis se sont alors révélés au monde, récession, sous-développement des pays émergents, risque financier mondial, questions transfrontalières, manque de coopération, manque de confiance, insécurité, difficulté d’intégrer une multitude d’institutions régionales et mondiales, conflits etc.

C'est ici qu'intervient l'initiative des « nouvelles Routes de la soie » que lance le président chinois Xi Jinping dès 2013. Car il s'agit bien d'une initiative et non d'un plan fini : « un projet ouvert qui invite à plus de soutiens et d'idées ».

C’est le concept des Nouvelles Routes de la soie, clé pour l’inclusivité avec des partenaires, au lieu d’exclusion.

Dès lors la Chine propose la création de la Banque asiatique d’investissement dans les infrastructures (BAII). Première institution « inclusive » dont l'objectif est d’améliorer le financement urgent des infrastructures dans les pays en voie de développement. Elle compte désormais 57 membres fondateurs d’Asie, d’Europe, d’Afrique, d’Amérique et d’Océanie.

Tous sont d'accord sur l'importance du financement efficace dans les infrastructures qui feront progresser de façon durable l’espérance de vie des populations (agrandir la table pour accueillir toujours plus de monde).

Le projet est tel qu'il demande un fort partage du savoir-faire, une grande coopération transfrontalière, avec une mise en commun des valeurs : « regarder ce qui nous relie et trouver une complémentarité mutuelle ».

Dans son approche d'un développement inclusif « gagnant-gagnant » la Chine s'ouvre donc sur la base d'une « égalité des droits » et du « bénéfice mutuel » à travers cette plateforme de coopération internationale qui se veut équilibrée.

Relier le pôle Asie-Pacifique au pôle européen c'est le plan Juncker avec 315 milliards d’euros d’investissements, le projet « 16+1 » entre les pays d’Europe centrale et de l’Est et la Chine, à quoi peuvent être associés les projets allemand « Industrie 4.0 » et le « Made in China 2025 » etc.

Plus concrètement c'est la connexion des entreprises au réseau de transport pan-européen, la ligne Europe-Chine-terre-mer et le nouveau Pont terrestre eurasiatique :

On parle alors des réseaux transeuropéens, qui devraient être prêts d’ici 2030 : 94 ports principaux, 38 aéroports et grandes villes y seront reliés, et 15 000 km de rails seront posés.

Mais si la Chine souhaite apporter des contributions communes à l’économie planétaire, le brouhaha médiatico-politique occidental se fait réticent à les recevoir et pour cause : « la conception chinoise des relations internationales, celle de Tianxia signifie un ordre gagnant-gagnant de complémentarité et de coéexistence ».

En effet, la plateforme des Nouvelles Routes de la soie est à la fois « ouverture », « inclusion », « souveraineté », mais aussi « intérêt mutuel ».

On y retrouve alors, l'état d'esprit du développement mutuel de la Paix de Westphalie.

En d'autres termes, Confucius dirait, la politique n'est pas comme l'on croit, la domination par la force mais l'art de créer la coopération générale. Ce que de Gaulle traduirait par « entente, détente et coopération », à notre tour, ne pourrions-nous pas en ce milieu de XXIème troublé, l'exprimer en un mot tout aussi bienveillant qu'harmonie ?

Qu'en pensez-vous ?

(Cette article a été publié dans Le Petit Journal du Tarn et Garonne N° 5517, également disponible en ligne ici >...)

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Chronique - Sur les Nouvelles routes de la soie : Entente, détente et coopération

 

Publication média

Dès 1961, la France se dote du Centre national d'études spatiales.
En 1964, le site de Kourou, en Guyane, est choisi afin d'y bâtir un site de lancement.

Les fusées Ariane seront la consécration de l'état d'esprit westphalien. L'Europe ne se fait plus la guerre, c'est le temps du pardon des offenses, de l'avantage à autrui et du développement mutuel. L'essor des 30 Glorieuses atteint le domaine spatial.

En même temps, le Général de Gaulle, alors président de la République française, reconnaît officiellement la République populaire de Chine : « Il n’est pas exclu que la Chine redevienne au siècle prochain ce qu’elle fut pendant des siècles, la plus grande puissance de l’univers »

Nous voilà 60 ans plus tard, la plus grande puissance de l'univers installe sa propre station spatiale Tiangong en orbite de la Terre. Ainsi, ce « Palais Celeste », lance les Nouvelles Routes de la Soie à la découverte du cosmos.

Comment la Chine en est arrivée là ? En appliquant à elle-même le meilleur de ce que la France a su mettre en place après-guerre pour se reconstruire.

Appellé de ses vœux par Jaurès, le « crédit démocratique » verra le jour sous de Gaulle et le CNR avec le crédit Productif Public, la planification indicative et la stricte séparation des activités des banques.

Bien que depuis, les gouvernements successifs se soient totalement concentrés à sa destruction, c'est bien la maîtrise de l'émission de crédit productif public qui aura permis l'essor de l'économie spatiale (recherche, industrie, emplois qualifiés) que notre région connait, et non l'usage de la planche à billets comme soutien à la spéculation financière dans une économie de marché vouée au court terme.

La preuve désormais avec, entre autres, le manque de lanceurs pour ravitailler la dite station internationale... on lui préfère Space x.

Face à cela, La Chine maîtrise encore aujourd'hui totalement sa « planche à billets », lui permettant de concevoir des projets spatiaux hors du commun qui engagent ses universités, sa recherche, son industrie : rover Yutu, sonde Chang'e 5, mission conjointe HaiYang-2 avec la France etc.

C'est donc le précieux travail effectué dans les années 60, d'entente, de détente et de coopération que nous devons voir comme un gage de développement et finalement de Paix. Un engagement pour l'avenir qu'à l'époque, nos pairs ont construit pour les générations futures.

Réveiller cela passe par l'appel de la Chine à la communauté internationale de rallier les Nouvelles Routes de la soie. En sommes-nous encore capables ?

A Solidarité et Progrès, nous pensons que oui, pourvu que vous sortiez des calculs géopolitiques.

(Cette article a été publié dans Le Petit Journal du Tarn et Garonne N° 5514, également disponible en ligne ici >...)

Dossier
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Chronique - Sur les Nouvelles routes de la soie : l'ardente obligation d'une Banque Nationale.

 

Publication média

Juillet 2022, la Chine vient de commander 300 Airbus !

Découvrons ce que révèle une telle dynamique en commençant par chez nous avec ce que nous dit Ségolène Royal en 2007 :

« Si la réglementation actuelle de la concurrence par la Commission avait prévalu au début des années soixante-dix, jamais les Etats français, allemand, britannique, n’auraient pu financer par avances remboursables le développement d’Airbus qu’on célèbre comme une réalisation de « l’Europe », en oubliant que dès l’origine, ce fut l’affaire des Etats »,

En effet, c'est en aout 1993, juste après la ratification du traité de Maastricht, que la loi interdira à la Banque Nationale de France d’accorder des découverts ou crédits aux organismes publics et donc à alimenter des consorsiums tel qu'Airbus.

Puis malgré le référendum de 2005, le traité de Lisbonne consacrera l'obligation faite aux Etats et à leurs collectivités locales à emprunter auprès de banques privées (fort taux, court terme) en favorisant une dette illégitime de fait plutôt que le crédit productif public, peu couteux, émis par les Banques Nationales des pays européens, c'est à dire, chez nous, par la Banque de France.

En Chine ? L'Etat détient toujours le contrôle de sa Banque Nationale et s’en sert pour les investissements dans les infrastructures. Conséquence à long-terme : plus de 1000  plate-formes de correspondance aéroportuaire contruites dès 2006, auxquelles s'ajoutent 144.000 km de voie de chemin de fer dont 39.000 en grande vitesse, des projets d'irrigation ou de verdissement de ses déserts avec 1 milliard d'arbres plantés, etc.

Quid de la sobriété diront certains ? Sauf que la sobriété est une simple escroquerie servant parfaitement la prédation financière car on ne peut spéculer que sur ce qui est rare, quitte à créer la pénurie. Explication : Pour produire il faut de l'énergie (investissement à long terme) moins il y a d'énergie moins on produit et plus les Bankster se frottent les mains. La preuve tous les jours à la caisse.

Comprenons par là que ça n'est pas la sobriété en col roulé qui a permis aux chinois de sortir plus de 500 millions d'individus de la misère en moins de 30 ans.

Le défi pour rejoindre les Nouvelles Routes de la soie serait alors de changer notre système bancaire pour nous permettre d'équiper l'homme et la nature à la hauteur des besoins de l'humanité présente et future.

Et pour réveiller tout un chacun, nous pourrions paraphraser Bossuet, la Chine se rit de ceux qui se plaignent des conséquences dont ils chérissent les causes. 

(Cette article a été publié dans Le Petit Journal du Tarn et Garonne N° 5512, disponible ici >...)

Dossier
Pouvoir d'achat : Comment reprendre la main  ?
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Rendre l'argent au Peuple

 POUR GARANTIR

L'ESSOR DU PAYS ET LE POUVOIR

D'ACHAT


Comme après-guerre, l’émission du crédit public par une Banque Nationale sous contrôle citoyen doit permettre de créer les conditions d’une vie meilleure, celles des Jours Heureux du XXIè siècle.

👉C’est un commissariat au Plan formé par les forces vives du pays et des élus locaux qui identifie les secteurs et les missions prioritaires.

👉Bénéficiant d’avances de la part de la Banque de France, le Trésor est alors en mesure de financer, via « les comptes dédiés », les investissements très lourds (EDF, SNCF, infrastructures, qualification de la main d’oeuvre…). 

Il ne s’agit pas d’injections monétaires abandonnées au marché mais d’une politique d’émission de « crédit productif public » dont l’activité productrice future permettra de rembourser une dette créée à partir de rien.


Orienter le Crédit public émis par une vraie Banque nationale

Apporter une solution au problème récurrent du tout automobile et prévoir un plan B pour le haut degré de savoir-faire de l'industrie aéonautique au cas où il finirait par être délocalisé, cela va de pair.2
Désenclaver nos campagnes et déconcentrer les bassins d'emploi en maitrisant des transports de masse qui respectent la qualité de vie.
C'est Jean Bertin, l'inventeur de l'Aéotrain, qui nous permet de mettre le pied à l'étrier. Avec son mode de transport sur coussin d'air (sans frottement) qui induit un entretien et une consommation d'énergie faibles, la version AéroTram est plus économique qu'un Tram ordinaire. Une industrie ferroviaire c'est aussi des emplois qualifiés qui garantissent le pouvoir d'achat.

Equiper chaque Département d’un observatoire astronomique, le penser comme un pôle économique et social où un enseignement y être prodigué, l'ouvrir à l’école, à la vie périscolaire, au public, au tourisme et aux entreprises c'est donner du crédit à l'avenir.
Dans le cadre du projet national «les observatoires du ciel», ce lien à la fois scientifique et culturel apportera aux petits et grands une ouverture sur le monde hors du commun tout en permettant de se former aux métiers de demain. C'est de l'économie dédiée à l'homme et la nature.


Enfin, sans énergie bon marché, point de salut. Pour qu’une énergie soit bon marché il faut qu’elle soit produite de manière la plus dense possible : au revoir les éoliennes, bonjour la fusion thermonucléaire, actuellement développée dans le Sud de la France avec le projet ITER ! Pour citer Alain Bécoulet, directeur du domaine « ingénierie » de ce projet : « La Science est l’un des vecteurs les plus puissants du rapprochement entre les peuples, et donc de la paix. La volonté de savoir, de connaître, de décoder la Nature, est une source inépuisable et universelle de l’être humain. » Si on investissait dans la fusion thermonucléaire contrôlée ce qu’on met dans les armes en Ukraine, on peut parier que l’humanité disposerait d’une énergie quasiment illimitée dans quelques dizaines d’années. Qui dit énergie quasi illimitée, dit baisse des coûts et développement de tous les pays par la coopération. Donc le meilleur gage d’augmentation du pouvoir d’achat c'est la paix par le développement.


Avec le développement mutuel, la Paix et les 130 Glorieuses sont possibles


Une fois député j'oeuvre pour une
commission d'enquête sur la dette. Comment  ? Pourquoi  ?

👉en formant un groupe parlementaire autour de cette exigence qui va au-delà d'un simple audit  : une enquête sur la dette diligentée par une commission dotée de réels pouvoirs d'instruction.

👉 permettre à chacun de connaître les dessous des cartes et créer ainsi une base populaire de soutien à un changement politique.

👉 les Jours Heureux du XXIème siècle passe par l'annulation d'une partie de la dette en se basant sur un principe simple de tri  : La dette reliée à l'économie physique (action réelle) est légitime, alors que la dette reliée à la spéculation est illégitime (dette d'écriture).

👌fort du soutien populaire et de l'enquête qui permet le tri de la dette, s'imposera par la loi, une STRICTE séparation des activités des banques afin de protéger notre argent des casinos et de remettre les banques au travail en soutenant l'économie réelle.

L’Etat doit pouvoir émettre du crédit pour orienter l’argent vers les projets à finalité sociale et environnementale. C’est-à-dire équiper la société d’un socle de base améliorant la qualité de vie : Transport ferroviaire, hôpital, école, centrale nucléaire, recherche ... Ainsi, des emplois sont créés, le chômage diminue et les salaires augmentent.

L’argent ne va plus à la spéculation, mais au développement de l’économie physique réelle pour construire le monde de demain basé sur l’humain. C'est la NATIONALISATION de la Banque de France (actuellement perdue) qui est restaurée. 

La BNP dont la hauteur des avoirs est équivalente à la dette de la 

France a bien été nationalisée en 1982 pour être re-privatiser en 1987 !                                                           


Appelé de ses voeux par Jaurès, le «  crédit démocratique » verra le jour sous de Gaulle et le CNR avec le Crédit Productif Public, la planification indicative et la stricte séparation des activitées des banques. Aujourd'hui, ce système a été entièrement déconstruit par l'UE des marchés financiers, que nous ont imposés nos dirigeants à pas de loups.

C'est à cette déconstruction que je m'oppose depuis une dizaine dannnées avec Jacques Cheminade et Solidarité et Progrès son mouvement politique. Aussi, mon intention dans cette campagne est d'êre plus qu'une force de propositions afin de pouvoir au plus vite me mettre au travail pour vous permettre de retrouver du pouvoir d'achat, développer nos territoires et préparer un meilleur avenir pour les enfants.

Et pour se faire, nous avons un Plan : Une VRAIE Banque Nationale pour se libérer de la dette !

Si lobby il doit y avoir, c'est celui du citoyen. Le « lobby » de ceux qui payent leurs impôts, qui travaillent et souhaitent une vie meilleure pour eux et leurs enfants. C'est le « lobby » d'un monde bienveillant qui ne fait pas du travail une marchandise mais une force créatrice engagée pour une société « d'entente, de détente et de coopéraation » en local, en national comme à 'international.

Pour ma part, je crois que le moment est arrivé de se sortir du doute et de la méfiance, un moment où l'ambition des individualité ne peut plus s'opposer à l'ambition collective de sortir d'un ordre établi pour Réparer, Reconstruire et Refonder le pays afin de ramener ainsi l'espoir parmi tous.

C'est pour tout cela que je vous demande de porter ces idées au Parlement. Je demande votre voix pour qu'à mon tour je puisse être la votre et pour qu'ensemble nous ramenions le sens du bien commun enfin retrouvé.

Car cela est possible en reprenant le contrôle de la planche à billets.

Bien à vous.




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Les 130 Glorieuses sont possibles

 

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Le projet est à lire en cliquant sur le lien ici >>> Crédit National 

Appel pour la Paix par le développement


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