Transport public : Pourquoi n'avons-nous toujours pas d'Aérotrain ?

Le progrès scientifique l'ami du service public

Après avoir mis l’accent sur une différence fondamentale à ses yeux – et trop souvent amalgamée - entre un « progrès scientifique » et un « progrès technologique », l’originalité de l’exposé a été de montrer le lien entre une rupture scientifique, appliquée dans l’économie physique sous la forme d’une nouvelle technologie, et le changement de paradigme scientifique, culturel, et économique que cela implique dans la société.
Concernant les transports, l’exemple donné est le passage du train, à la voiture, et à l’aérotrain : « Avec la roue d’un train, tout le poids du train repose sur un seul point d’appui sur son support. La roue de voiture, plus souple, s’appuie sur une surface déjà un peu plus large sur la route : le poids du véhicule est donc déjà mieux réparti. Mais qu’il s’agisse du tramway, du train, du TGV, de la LGV, de la voiture ou du bus, le déplacement implique toujours friction avec un support, donc usure, énergie pour s’affranchir de cette friction... Tout cela n’a plus lieu avec la lévitation, que ce soit par coussin d’air, par électromagnétisme ou encore par supraconduction. Qui dit absence de frottement, dit absence d’usure, moindre dépense énergétique, accélérations et ralentissements plus rapides, donc possibilité de relier des villes ou des villages relativement proches... » Lire la suite >..
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