Pour
que l’avenir soit meilleur, encore faut-il que nous ayons vaincu l’ennemi sans
visage qu’est la finance folle qui a tout ruiné. Vu les dégâts engendrés -
emprunts toxiques, hausse des impôts, baisse des salaires et le plus grave de
tout : corruption morale de trop nombreux élus - c’est une bataille qui nous
concerne tous. Aujourd’hui elle devient une affaire locale : nous devons mettre
fin au règne des casinos financiers.
Si je
suis élu, je m’engage à rejoindre les dizaines de collectivités territoriales
françaises à avoir voté un voeu en faveur de la stricte séparation des banques
(dégager les casinos de notre économie), et à promouvoir ce combat au niveau
départemental, régional, national et international. C’est
possible, d’autres l’ont déjà fait. Dans ce moment difficile pour notre pays,
préserver nos acquis, préserver une vie rurale saine et la développer demande
de faire bien plus que de gérer le quotidien : ceux qui n’ont pas fait le
travail au-delà de notre petite mairie qui s’y est attachée le mieux possible
dans ce contexte, doivent résolument partir ! Après les législatives de 2012,
je reviens donc demander aux Verlhacois et Verlhacoises leur soutien afin que
nous puissions semer les graines nécessaires pour changer la donne.
Car avec 1,4 milliard d'euros de dotation en moins rien qu'en 2014, comment les collectivités locales vont-elles faire sans augmenter les impôts ni créer du chômage ?
Car avec 1,4 milliard d'euros de dotation en moins rien qu'en 2014, comment les collectivités locales vont-elles faire sans augmenter les impôts ni créer du chômage ?
La RD 999 est devenue accidentogène avec plus de 10 000 véhicules jours. Où sont les ronds-points ? Les transports en communs sont inexistants pour désenclaver le milieu rural alors qu'il faut aller travailler toujours plus loin, les familles n'ont pas de soutien dans leur surendettement. Et les chemins d'accès restent souvent non entretenus au même titre que les bas-côtés des routes. On ne pourra pas dire qu'à Verlhac Tescou nous ne le savions pas : les dépôts des Français, plutôt que de servir à spéculer sur les marchés financiers, doivent servir notre économie réelle !
Je saurai le porter jusqu'où il faut pour être entendu.