L'UE TUE ! Changeons pour " Un monde sans la City ni Wall Street "

Durant la campagne municipale, je n'ai pas caché qu'aussitôt passée, les coupes budgétaires s'abattraient sur les collectivités locales. Qu'au prétexte d'un soi-disant manque d'argent on en viendrait à nous faire accepter outre le saccage social mais plus encore, la casse de nos institutions, de notre organisation républicaine. 

A l'image de Jacques Cheminade, qui depuis 1995 s'est engagé à dire la vérité parce qu'il souhaite protéger les plus faibles des mécréants de la finance folle, je porte cet engagement de me battre pour les idées dès lors qu'elles sont justes et humainement riches et non pour " être possédé par les possessions que l'on possède ".


Le crapaud financier devenu plus gros qu'un boeuf, au point d'imposer sa dictature aux uns et aux autres, est sur le point d'éclater. Il tente donc, tout ce qui lui est possible pour que nous explosions à sa place ou avec lui pourvu qu'il s'en tire vivant.

C'est un perfide empire mais ça n'est pas un ennemi sans visage. Nous le terrasserons en

> Découpant les banques en 2 : séparations stricte des activités des banques, banque de dépôts d'un côté (notre argent) et banque d'affaires de l'autre (les casinos)

> Reprenant la maîtrise de l'émission de crédit publique vers de l'investissement nécessaire au développement : infrastructures, transport, recherche, santé, école...

Alors, vous me direz, comment " rester éveillé au sein d'une grande révolution " ?



L'europe des cabris !

" La seule façon d'être fidèle au passé, c'est de faire campagne pour construire le futur. Ce devrait être l'enjeu même de ces élections européennes : élire des hommes et des femmes déterminés à se battre pour un projet servant leurs peuples et les générations à naître. Or l'Union européenne, le lieu du vote, est devenue un machin voué au libre-échange et à la libéralisation financière. Désormais quasi indissolublement lié à l'OTAN, c'est un monstre qui dévore ses propres enfants. La Grèce en témoigne. Qui plus est, les parlementaires que l'on élira le 25 mai n'auront pas la possibilité d'initier seuls un processus législatif puisque selon l'article 17 du Traité sur l'Union européenne (TUE), c'est une Commission non élue qui détient « le monopole de l'initiative législative ». Cette élection est donc une escroquerie : on votera pour un Parlement croupion alors que les décisions sont prises ailleurs, entre experts constituant un Empire qui, de fait, est la filiale de Wall Street et de la City de Londres."  Lire la suite > Drapeau Grec


Pour ne pas finir saignés comme des moutons : rejoignez la résistance 

Quand la faillite mondiale s'invite en local

La suite se passe en plein G7 sur l’Ukraine et entre les deux tours des municipales, comme s'il fallait préparer le début de la fin d'un système

Alors que le trio UK-OTAN-UE fait semblant de vouloir éteindre le feu qu’il a allumé en Ukraine, après l’assaut des néo-fascites opérant sous sa tutelle, voilà que la France à son tour vacille. Le FN pointe son nez. Avec la déconvenue d’un parti socialiste jusqu’alors omniprésent sur tout le territoire, ces municipales sont en lien direct avec la faillite mondiale.

Pour rester équilibrée une République est faite de contre-pouvoirs. Celui que représentent les maires est plus qu’un socle fondamental, il est le coeur du peuple.

Un maire donne une fois tous les cinq ans sa signature à un présidentiable ; il donne aussi tous les trois ans sa voix pour l’élection d’une partie des sénateurs ; enfin lui et son Conseil peuvent également délibérer sur un sujet important de société et émettre un voeu rappelant à l’ordre ou remettant en cause une décision, une direction, une loi, prise en haut lieu.

Voilà pourquoi ce socle puissant va être attaqué de toute part.

Les divisions locales en cours cachent le tsunami qui arrive : Hollande en perdition reçoit le « Livre de Malvy ».

Encore confidentiel, le document appelle aux coupes budgétaires sans pareilles exigées par les marchés. Il vient à point nommé pour assommer les français déjà abasourdis par l’abstention, le cumul et la longévité des mandats, alors qu’ils croulent sous les crédits et la perte de pouvoir d’achat, les impôts.

Que dit Martin Malvy Président du Conseil Régional de Midi-Pyrénées ? Il démontre que l’on préfère s’accoquiner « pour une maîtrise collective des dépenses publiques » plutôt que d’éradiquer le mal à sa source en reprenant la maitrise du Crédit Productif Public (voir encadré).

Voici ce que nous dit Le Parisien : « Le Gouvernement, pressé par Bruxelles, est à la recherche de 50 Mds € d'économies d'ici à 2017. […]

Les propositions évoquées dans le rapport sont sans précédent. […] Tout d'abord, un gel en valeur de leurs dépenses jusqu'en 2017, ce qui signifie (compte tenu de l'inflation) une baisse de leurs interventions. Du jamais-vu ! Et de l'explosif puisque le personnel, les investissements

et surtout certaines aides sociales, tout sera passé au rabot. Encore plus inédit, si l'engagement n'est pas respecté, les maires […] seront mis sous tutelle de l'Etat.

Ce serait une attaque en règle, réagit vivement un élu local. Car la nature même de la décentralisation serait altérée et la Constitution bafouée. »

Il n’y a plus de doute à avoir : ces municipales sont bien en lien direct avec la faillite bancaire mondiale qui tente de nous faire accepter des lois extrêmes. 

C’est pour cela que l’ultra libéralisme du FN est tout à fait compatible avec la logique financière. Rappelons que le 23 novembre 2009, Jean-Marie Le Pen recevait le parti ukrainien et néo-fasciste avoué Svoboda - à l’origine du coup d’Etat en Ukraine - dont une des premières mesures a été d’abaisser de 50% les retraites.

Nous devons réagir vite : ré-instaurer la stricte séparation des activités des banques amenée en son temps par FD Roosevelt, de Gaulle, le Conseil National de la Résistance et aujourd’hui par toutes les forces vives des Nations libres afin de mettre en faillite ORGANISEE ce système fou.

Un vrai pack contre le pacte de la complaisance

Résultat de la Municipale de Verlhac Tescou du 23 Mars 2014
En général au lendemain d’élections tout le monde a gagné !

Alors voyons ce qu'il en est. Sur 401 inscrits, nous avons 320 exprimés, pour être au Conseil municipal il aurait fallu la majorité + 1 voix c’est-à-dire 161 voix. Avec 137 voix c’est passé pas loin !


D’abord un grand merci aux 137 personnes qui ont pris le temps de venir dire que faire face à la finance, « c’est possible » ! Car vous l’avez compris, il s’agit de s’élever contre un système qui ne fonctionne pas, pour le changer à tout jamais.

Merci donc de m’avoir conforté dans ce sens.

Comme je vous l’ai dit durant ma tournée je ne vais pas en rester là. Je crois sincèrement qu’au-delà de bien s’organiser pour mieux se faire entendre et faire évoluer nos idées il est important de se réapproprier notre histoire afin d’avoir des bases saines pour avoir un cap et s’y diriger de manière exemplaire.

En terme d’exemplarité on peut reconnaitre que sans une implication de soi sur le terrain c’est bien l’abstention qui serait sortie gagnante. En effet, en venant taper aux portes de 180 habitations sur environs 220, cela n’a-t-il pas suscité un peu plus d’intérêt de la part des électeurs qui se sont déplacés plus nombreux qu'ailleurs ? Gageons que oui :

Taux d’abstention des villages alentours
Verlhac Tescou : 18,45%   Monclar de Quercy : 22,62%   Genebrière : 28,85%   La Salvetat Belmontet : 30,88%   Saint Nauphary : 24,47%   Varennes : 27,08%   Villebrumier : 31,56%

Alors merci aussi à tous pour cette participation.

C’est donc fort de ces réponses que vous avez apporté à ma campagne que je vais pouvoir m’investir encore mieux auprès de vous. Chaque Verlhacoise, chaque Verlhacois peut ainsi compter sur mon soutien pour l’aider dans son quotidien. Une aide nécessaire surtout face aux nombreux problèmes soulevés, que ce soit celui des chemins, des permis de construire, de la taxe communale, de l’isolement des habitants qui n’a jamais été pris en compte, des soucis de voisinage, de l’accueil des nouveaux arrivants, de la garderie des enfants que le CLAE ne résoudra pas, de la prise en compte des handicapés,  du trafic routier de la RD999 amenant toutes sortes de nuisance (bruit, sécurité, entretien..), de la vitesse de circulation dans le village, de l’entretien des biens communaux (chemins, bâtiments, monuments), des ordures ménagères.. Nos voix désormais comptent.

Enfin, j’aurais une pensée pour l’équipe gagnante qui dans un contexte d’effondrement du système ne va pouvoir poursuivre son renouveau que dans une continuité un peu tragique, où de spectatrice elle va passer actrice de notre déclin : la perception fiscale locale n’a-t-elle pas invité « à ne compter que sur ses propres ressources pour les années à venir » ?


Et quelles sont les ressources que nous ?  Faire le gros dos, revendre nos chemins ruraux puis viendra la vente du terrain de foot en lots constructibles ? A moins que ce ne fût qu’une invitation à œuvrer pour augmenter les impôts locaux…

Alors ne soyons pas responsable de ce spectacle mais plutôt ceux qui écrivent l’histoire.

J’invite donc tous ceux qui le veulent, qui le peuvent, à me rejoindre sans tarder.

Bien à vous.




Affaire Locale


Le fascisme financier n’a qu’à bien se tenir, le bon sens est bien du côté des citoyens électeurs.

La recherche du bonheur n’est pas l’accumulation de bien mais plutôt une quête continue pour le partage des biens acquis avec le temps, l’expérience et la ferveur du développement mutuel entre individus, entre civilisations, entre pays ou organisations civiles telles que sont les Républiques.


Un certain sens du bien commun donc.

Nous possédons des bases puissantes en droit, véritable socle commun à tous : l’avantage d’autrui, le pardon des offenses et ce développement mutuel qui nous viennent du traité de Westphalie. Egalement notre Constitution dans laquelle il est inscrit « un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » mais aussi le programme du CNR "Les Jours Heureux" et enfin la déclaration de Philadelphie du 10 mai 1994 qui dit que « le travail n’est pas une marchandise ».

C’est là que le sens de l’engagement doit nous éveiller pour établir nos droits et cesser de perdre du temps dans une « servitude volontaire » ou un excès de confiance en ceux qui tentent de nous corrompre et nous extraire de la réalité. Je veux parler du monde de la finance et les coquins qui l’alimentent.

Demain doit être meilleur qu’aujourd’hui et aujourd’hui meilleur qu’hier.

Ce combat, je le porte depuis plus de six années. Aujourd’hui il vient à vous citoyens, électeurs, Verlhacoises et Verlhacois. Puisque cette finance folle a tout ruiné pour plusieurs générations, nous allons devoir reconstruire, protéger et bâtir un monde meilleur.

Regarder la réalité en face c’est ne pas abdiquer, ou se taire en attendant que ça passe. S’indigner est une chose, mais il est nécessaire de comprendre et d’agir. C’est ainsi que je suis venu taper à vos portes et voici ce que j’y ai trouvé :

L’un d’entre vous m’a parlé de l’Hermione, la frégate de la Liberté qu’un certain Lafayette avait affrétée pour rejoindre l’Amérique Républicaine naissante. Puis viendrons ceux qui, déjà, ont su se réunir autour de projets concrets et les faire avancer, ceux qui voient changer la nature et tentent de maintenir nos traditions et ceux qui savent qu’autour d’une table, peuvent s’assoir les voisins pour s’accommoder d’un simple pain et sans doute raccommoder quelques divergences.

Chacun a ouvert sa porte et ensemble nous en ouvrirons mille autres pour toujours mieux faire. Aux individualités respectables et respectueuses, qui se sont confiées, qui ont accepté d’écouter et d’échanger sur le terrain de l’entente, je n’ai vu qu’un leitmotiv : « se projeter dans le futur pour apporter le meilleur aux enfants ».

Voir et Agir avec les yeux du futur

L’extension de l’école et le futur CLAE sont certainement une bonne voie, mais il faut voir encore plus loin. Car l’éducation, le temps de travail, des trajets trop longs, un salaire qui ne suffit plus, des retraites épuisées, une individualité grandissante, l'imposition, les difficultés de s’intégrer, des chamailleries entre fortes personnalités, des attentes sans réponses, des questions sans attente, des vœux pieux et une vie réduite à tenir son budget en permanence, la vie que les anciens ont souhaité améliorée pour nous et qui ne le sera pas pour ceux qui viennent, tout cela fait que l’on pourrait vite être submergé si l’on ne visait pas plus loin.

Puisque l'on voit bien que les problèmes quotidiens n'ont de solution qu'à l'échelle globale, reprenons le dessus sur ceux qui imposent insidieusement le mal par la course à l’économie sur tout pour le profit maximal de certains.


Maintenant que l'ennemi à bien un visage, nous n'avons pas à avoir peur de lui. Alors à vous de jouer. Bon vote !

Municipales : Voter en panachant, c'est quoi ?

Rayer quelqu’un d’une liste est une possibilité et un droit lors de l’élection municipale sur une commune de moins de 1000 habitants. C'est donc le cas de Verlhac Tescou. 

C’est un scrutin dit plurinominal avec panachage autorisé.


Explications >..

Tournée générale

A l’heure où les maires, qui se doivent d’être les « maires de tous, de tous les problèmes et de tous les secteurs », font leurs tournées électorales, ne devons-nous pas justement soulever la question cruciale du renflouement imbécile et criminel des banques par les habitantes et habitants de Verlhac ?

Cette question clef pour laquelle notre gouvernement a préféré la demi-teinte, impacte la vie économique et sociale locale à un point de non-retour si rien n’est fait pour la résoudre.

Une commune au même titre qu’un pays ne se gère pas comme une entreprise.
Les liens sociaux évoluent par les investissements nécessaires dans les biens communs pour un mieux vivre ensemble et non le contraire.

Maastricht interdisant à l’Etat la maitrise de son émission de crédit productif vers l’investissement, le développement est donc en panne, en local, au niveau national comme sur toute l’Europe.

Pour le modifier démocratiquement au sein d’une République saine, nous devons d’urgence changer la donne et arrêter de renflouer les banques au détriment de l’économie réelle.
Cela commence par la séparation stricte des activités des banques : comme à la Libération, le 2 décembre 1945, le Gouvernement a éliminé les banques d’affaires de l’économie réelle. C’était le fin de l’occupation financière du pays.

Qui mieux qu’un maire et son conseil peuvent donc porter cette question vitale auprès des citoyens ? En effet, tout conseil a le droit de faire un voeu (une délibération) sur un problème de société.

Pour ma part et depuis au moins les législatives de 2012, l’intention y est. Alors il s’agit maintenant de la mettre en œuvre. C'est pour cela que j'ai besoin de vos votes, afin de pouvoir continuer sur cet élan.

J'ai donc fait parvenir aux candidats aux municipales de notre canton ce document pour lequel j'attends leur réponse et continuerai après cette élection dans ce sens >..


Bon vote et à dimanche.



Après l'euphorie électorale, la douche froide !

Communiqué
Désormais une 40taine de collectivités se sont engagées
Une 40taine de collectivités se sont engagées
La liste Solidarité & Progrès à Rennes tient à mettre en garde les électeurs, ainsi que les autres candidats, sur un enjeu essentiel : deux réformes d’importance capitale pour les collectivités locales sont dans les tuyaux à Bercy et au cabinet de Mme Lebranchu, mais ne seront dévoilées qu’après l’échéance électorale.

Questionnée sur la baisse des dotations de l’Etat aux collectivités, estimée par certains maires à 10 milliards d’euros, Mme Lebranchu a répondu que le chiffre ne sera annoncé qu’en avril. Pour combler ce trou, Bercy prépare de son coté la révision des taxes locales, qui vise à changer les valeurs cadastrales, qui sont des estimations multi-paramétrales et en partie subjectives, de la valeur de votre logement.

Bref, vous risquez d’entrer dans une classe supérieure d’imposition, et d’avoir une augmentation significative de votre taxe foncière et d’habitation, sans que votre maire ne puisse rien y faire.

En conséquence, les candidats et les citoyens qui ne s’engagent pas à se battre contre la règle de la finance folle, à laquelle les gouvernements de droite, comme de gauche se sont soumis, se condamnent à l’impuissance et subiront ces mesures injustes. C’est tout le sens du vœu en faveur de la séparation des banques que nous défendons, pour arrêter à sa source l’austérité financière déguisée en « réformes ».


Comment ça marche ? Je vote dans une commune de moins de 1000 habitants : liste pleine ? panachage ?

Programme et projet de société

Cliquez sur l'image pour voir la présentation du film
« Si on avait dit à mes copains que j’étais un héros, ils auraient éclaté de rire. Au FTP-MOI, nous savions que nous devions nous battre pour un monde meilleur, et que ce monde devait advenir. C’était naturel » - Léon Landini

Les jours heureux, c’est le programme du Conseil national de la résistance (CNR) dont Gilles Perret nous montre la naissance.

La naissance portée par des résistants communistes et socialistes, mais aussi par des démocrates chrétiens et une droite populaire et sociale.

Et voilà tout à coup que nous parlent de vieux messieurs depuis le plateau des Glières, en mai 2010, Léon Landini, Charles Paperon [1], Stéphane Hessel et Raymond Aubrac, si jeunes les idées et engagements qu’ils portent et nous transmettent.

Et ne se faisant pas de cadeaux : Léon et Charles interpellent Stéphane, lui intimant qu’aujourd’hui comme hier s’indigner ne suffit pas mais qu’il faut agir, et qu’un être humain témoigne de son humanité par ce qu’il apporte à ses semblables.

[1] Charles Paperon : L'appel des Six

Budget 2014, pour avancer ?

Le budget 2014 du Tarn-et-Garonne pourrait être surnommé le "Tout le monde il est beau, tout le monde il est content". 

Du fait que le Gouvernement a versé sa part au Département, le Groupe des Socialistes se félicite que "un Gouvernement qui tient ses promesses c'est à souligner". 

Faut-il rappeler que ce même Gouvernement était censé avoir déclaré la guerre a la finance ? Eh bien aujourd'hui, le chiffre d'affaires de la  seule BNP PARIBAS équivaut au PIB de la France... Si ce n'est pas une puissance de chantage financier contre les français, qu'est-ce donc ?

Pour les Radicaux, l'Etat pourra "encore mieux faire". Faut-il comprendre "encore mieux soumettre les français à l'austérité" ?

Pour éviter la déroute, coupons les banques en 2 !


Au fond, faute d'avoir le courage d'affronter un ennemi qui a le visage de banques, l'austérité aura eu le mérite de mettre tout le monde d'accord. Une servitude volontaire qui s'accorde à gérer la pénurie et la course aux subventions, au lieu de couper les banques en deux pour protéger nos dépôts du casino et de reprendre  les rênes de l'émission de crédit productif public, le tout sous le prétexte d’un fallacieux progrès. 

Car le progrès dont on nous parle, c’est un peu comme le goudron de ce nouveau rond-point « des sapinettes » sur la D999, quand le goudron se décolle déjà après deux mois d’utilisation, le progrès lui ne décolle toujours pas après 30 ans de budget : pas d’irrigation pour les petites exploitations agricoles, pas de transport en commun pour sortir de l’isolement rural, plus d’entretien efficient des chaussées, routes déformées pour des accidents accrus, du délestage électrique systématique au moindre coup de vent, des poteaux téléphoniques qui croulent sous les câbles, la fibre optique ni changeant rien, bien au contraire…

Si l’heure n’était pas grave, nous pourrions rire un peu de ce prétendu bon sens si près de chez nous, en se rappelant que si « avant on avançait dans la mauvaise direction, maintenant on recul bien dans la bonne ».

Mais vous me direz et Verlhac Tescou dans tout ça ? Suite au prochain numéro !

Plutôt que de râler.. si on y allait ?


glass-steagall.fr/Pdf-Candidature_Municipales.pdf
Pour que l’avenir soit meilleur, encore faut-il que nous ayons vaincu l’ennemi sans visage qu’est la finance folle qui a tout ruiné. Vu les dégâts engendrés - emprunts toxiques, hausse des impôts, baisse des salaires et le plus grave de tout : corruption morale de trop nombreux élus - c’est une bataille qui nous concerne tous. Aujourd’hui elle devient une affaire locale : nous devons mettre fin au règne des casinos financiers.
 
Si je suis élu, je m’engage à rejoindre les dizaines de collectivités territoriales françaises à avoir voté un voeu en faveur de la stricte séparation des banques (dégager les casinos de notre économie), et à promouvoir ce combat au niveau départemental, régional, national et international. C’est possible, d’autres l’ont déjà fait. Dans ce moment difficile pour notre pays, préserver nos acquis, préserver une vie rurale saine et la développer demande de faire bien plus que de gérer le quotidien : ceux qui n’ont pas fait le travail au-delà de notre petite mairie qui s’y est attachée le mieux possible dans ce contexte, doivent résolument partir ! Après les législa­tives de 2012, je reviens donc demander aux Verlhacois et Verlhacoises leur soutien afin que nous puissions semer les graines nécessaires pour changer la donne.

Car avec 1,4 milliard d'euros de dotation en moins rien qu'en 2014, comment les collectivités locales vont-elles faire sans augmenter les impôts ni créer du chômage ?

La RD 999 est devenue accidentogène avec plus de 10 000 véhicules jours. Où sont les ronds-points ? Les transports en communs sont inexistants pour désenclaver le milieu rural alors qu'il faut aller travailler toujours plus loin, les familles n'ont pas de soutien dans leur suren­dettement. Et les chemins d'accès restent souvent non entretenus au même titre que les bas-côtés des routes. On ne pourra pas dire qu'à Verlhac Tescou nous ne le savions pas : les dépôts des Français, plutôt que de servir à spéculer sur les marchés financiers, doivent servir notre économie réelle !

Je saurai le porter jusqu'où il faut pour être entendu.

Agriculture - Nourrir le planète en 2050

A Kiev, l’UE souhaite en finir avec la PAC !

« Vous voulez savoir pourquoi l’Ukraine n’a pas signé l’accord d’association ? Lisez-le ! » a dit Poutine.
Les conséquences de l'ouverture totale des frontières aux produits agricoles ukrainiens dans des conditions où les coûts de production sont moitié moindres en Ukraine, auraient été catastrophiques pour la France, premier producteur agricole européen, mais aussi pour toute la Politique agricole commune (PAC). 
Pour lire nos Alertes depuis 2010 >..



PARIS - Salon de l'Agriculture 2014 
Pour nous rejoindre dans la bataille : Faites un Don

Valérie Rabault, chef d'orchestre contre la finance ?

Le Petit Journal, 1er Février 2014, JF Grilhault des Fontaines

Valérie Rabault est une magicienne. le 30 janvier, présentant la liste Roland Garrigues pour Montauban dont elle est le numéro deux, elle affiche l'ambition de faire de cette ville un pôle universitaire .

http://www.solidariteetprogres.org/nos-actions-20/article/n-est-pas-jaures-qui-veut.html
En 2020, à Montauban, il y aura des étudiants, donc une université donc des emplois et des entreprises !

Tout cela est-il réaliste ? Pour sûr, Madame Rabault sait de quoi parle : elle est vice-présidente de la commission des finances. Elle sait donc que le budget pour les collectivités territoriales 2014 a été amputé des 1,4 milliards d'euros. Elle sait aussi que tant que les banques ne seront pas coupées en deux, elles réclameront de l'argent de l'État pour renflouer le trou sans fond de la spéculation... Donc il n'y aura jamais d'argent pour développer le pays!

Madame Rabault sait donc que ce projet n'est pas possible… à moins, comme le prévoit l'élite libérale du pays (Attali, Baverez...), d'en finir avec l'État-nation, pour créer des métropoles géantes qui se feront concurrence par l'entremise du pouvoir des banques, alors que le reste du pays sera laissé à l'abandon.

Malgré tout, Mme Rabault a cité Jaurès. L'homme qui s'est battu conte la finance... chef d'orchestre de la première guerre mondiale.


Alors, Madame Rabault, à quand un véritable sursaut républicain ?
                                                                                                                      

Transport public : Pourquoi n'avons-nous toujours pas d'Aérotrain ?

Le progrès scientifique l'ami du service public

Après avoir mis l’accent sur une différence fondamentale à ses yeux – et trop souvent amalgamée - entre un « progrès scientifique » et un « progrès technologique », l’originalité de l’exposé a été de montrer le lien entre une rupture scientifique, appliquée dans l’économie physique sous la forme d’une nouvelle technologie, et le changement de paradigme scientifique, culturel, et économique que cela implique dans la société.
Concernant les transports, l’exemple donné est le passage du train, à la voiture, et à l’aérotrain : « Avec la roue d’un train, tout le poids du train repose sur un seul point d’appui sur son support. La roue de voiture, plus souple, s’appuie sur une surface déjà un peu plus large sur la route : le poids du véhicule est donc déjà mieux réparti. Mais qu’il s’agisse du tramway, du train, du TGV, de la LGV, de la voiture ou du bus, le déplacement implique toujours friction avec un support, donc usure, énergie pour s’affranchir de cette friction... Tout cela n’a plus lieu avec la lévitation, que ce soit par coussin d’air, par électromagnétisme ou encore par supraconduction. Qui dit absence de frottement, dit absence d’usure, moindre dépense énergétique, accélérations et ralentissements plus rapides, donc possibilité de relier des villes ou des villages relativement proches... » Lire la suite >..
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2014 : Candidats aux municipales faites un Voeu !

Le Petit Journal du Tarn et Garonne, le 25 Janvier 2014, JF Grilhault des Fontaines 

« 80% des procédures judiciaires sont dues à des problèmes de trésorerie. Il faut donc amener les banques à jouer un jeu différent. » C’est ce qu’a déclaré le 21 janvier dernier au micro de Networkisio, le Président du Tribunal de Commerce de Montauban, Gérard Brunet.
 
Valérie Rabault, députée du Tarn-et-Garonne et vice-présidente de la Commission des finances à l’Assemblée Nationale, reconnaissait il y a quelques semaines, que « 
le problème, c’est que nous [les députés, NDR] ne considérons pas les banques comme un ennemi, mais comme un « partenaire » avec lequel on négocie. » Or, elle le sait très bien, la seule solution est une séparation stricte (juridique, physique, managériale…) des fonctions de banque de dépôt/crédit de celles d’établissements financiers qui jouent sur les marchés.

Aujourd’hui, grâce à la mobilisation de Solidarité & Progrès, une 20aine de villes, un Conseil Général et un Conseil Régional ont déjà voté un voeu en faveur de cette stricte séparation des banques.